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« Je trouve que nous sommes très préparées pour la grossesse et l’accouchement, mais que la période du post-partum est vraiment difficile, car nous ne savons pas à quoi nous attendre ! » confie Anne-Gaëlle. Corps abimé, fatigue, douleurs, isolement pour certaines… « On prend cher ! » s’exclame Flavie. Soutenue par Caroline : « Notre corps a subi un énorme changement physique, un vrai yoyo, qui n’est pas si évident à accepter ». Quel défi d’aimer et de retrouver son corps après une grossesse !
Maman d’un bébé de quatre mois, Marie-Sara confie : « Après un accouchement difficile, 48h de travail pour un demi centimètre de gagné, une péridurale que j’ai fini par accepter à contre-coeur, des hormones et autres aides médicales, j’ai fini par détester mon corps. Je lui en voulais de n’avoir pas pu réaliser ce que je désirais, de ne pas avoir su nous faire rencontrer notre fille sans autant d’aide médicale… Mon corps est devenu un ennemi, tant dans ses possibilités physiques que pour son aspect esthétique. »
Grossesse épanouissante ou stressante, dynamique ou alitée, accouchement rêvé ou difficile. Fidèlement, notre corps a traversé avec nous la grande aventure de la vie. Et s’il était temps de renouer avec lui ?
Honey se désole : « J’ai perdu tous mes kilos de grossesse, mais mon corps n’est pas revenu comme avant ! » Anne-Gaëlle renchérit : « Je me sens maintenant très molle et bouffie. J’ai même le sentiment d’avoir grossi, alors que la balance reste au même poids. »
Visage gonflé, peau terne, cheveux qui tombent, cellulite sur les cuisses, bassin élargi, bourrelets apparents. La liste des doléances est longue. Mais le trio de tête reste le ventre mou, la poitrine qui tombe et les vergetures disséminées un peu partout. Après l’accouchement, passage en revue des troupes :
Premier berceau de notre enfant, il est devenu l’ennemi numéro 1 après l’accouchement. Charlotte confie : « Mon corps m’apparaît comme gros, mou, encombrant et paradoxalement vide, tellement vide. Mon ventre est ce que je déteste le plus, justement parce qu’il est resté gros et qu’il est désormais vide. Je n’ai plus cette force, cette sensation de plénitude que me procurait le fait d’être enceinte. À deux mois et demi post-accouchement, je ne l’accepte pas. Je le cache. Je me cache… ».
Sentiment partagé par Alexandra : « Au début, mon ventre me plaisait, il me rappelait que mon fils y avait passé huit mois et demi. Moi, qui avais un ventre tout plat et qui en étais fière, dix mois après l’accouchement, il m’est difficile de le voir ressembler à une « jolie » bouée ! » Source de complexe pour beaucoup, ce ventre symbolise la fin de l’état de grâce qu’est la grossesse. « Pour moi, il est impossible de toucher mon ventre flasque », affirme Charlène, dépitée, car elle était une grande sportive.
Pendant la grossesse ou l’allaitement, les seins se transforment inéluctablement. Dans son spectacle « Mother Fucker », Florence Foresti l’évoque avec humour :« Enceinte, tu as des beaux seins, enfin de gros seins ! Il faut voir ce qu’il y a dessous : les veines apparentes, le réseau autoroutier français en filigrane dessous. Google map en permanence sur toi ! Tu ne peux pas te perdre ! » Quelques mois après son accouchement, Louise déchante : « J’étais très fière de ma poitrine avant. Personne ne m’avait prévenue que ça pouvait autant changer ensuite ni que la pesanteur avait cet effet là ! »
Même constat pour Honey : « Je suis passée d’un joli 95 C/D à un 90 B/C tout flasque… C’est mon plus gros complexe, des seins vides, qui tombent et ne tiennent pas bien même avec un soutien gorge… Je n’ose plus mettre le moindre décolleté ! » Chiara ajoute : « Physiquement, j’ai beaucoup changé. J’ai maigri, perdu mes formes. Après l’accouchement et l’allaitement, ma belle poitrine n’est pratiquement plus existante. »
« Malgré l’application d’huile anti-vergetures pendant la grossesse, raconte Agathe, quelques unes sont venues se placer au niveau du bassin et en haut des cuisses, relativement petites et discrètes. Malheureusement, du fait du relâchement des tissus après l’accouchement et de la perte de poids trop rapide, d’autres sont apparues sur le bas ventre: assez larges, plutôt rouges et sensibles.
Quand je me regarde dans le miroir, je ne vois que ces marques disgracieuses alors que mon corps est redevenu « à peu près » normal. » Faisant fi des crèmes et autres subterfuges, ces cicatrices se localisent autour du nombril, à la taille, sur les hanches, fesses ou cuisses et peuvent survenir à tout moment. « Trois vergetures sont apparues deux jours après l’accouchement ! Avoir ces marques indélébiles est dur à accepter ! » confie Flavie. Avant de conclure : « J’essaie de faire le deuil de mon corps d’avant les vergetures, de mon corps de jeune fille ». Désormais, à nous d’adopter ce corps de femme et d’en prendre soin !
Si certaines n’hésitent pas à lui parler comme Anne-Gaëlle, qui « le félicite sous la douche » pour son travail accompli, d’autres seront plus pragmatiques en sortant l’artillerie lourde pour « réparer » au mieux les dégâts :
« Cinq jours après mon accouchement, j’ai entrepris de me masser les cuisses et les fesses avec la technique du palper rouler en y associant des crèmes fermeté pour retrouver un peu de tonicité à ce niveau là, mais ce n’est pas encore top ! », raconte Sophie. Vos préférées sont l’huile « Tonic » de Clarins, l’huile de « massage vergetures » de Weleda, Bio-Oil et l’huile d’amande douce.
Quand on peine à perdre les kilos superflus, mieux vaut se tourner vers un diététicien qui suivra notre courbe de poids et donnera de bons conseils. Alexandra assure : « Je marche beaucoup et j’ai commencé un programme de rééquilibrage alimentaire avec une diététicienne il y a 2 semaines. Je sais que si je continue bien mon programme alimentaire et à bouger comme je le fais, tout rentrera dans l’ordre ! ».
Lise confie avoir aussi fait « un petit régime en évitant les sucreries, sodas, fromages, etc. Avec la reprise du travail et du sport : j’ai tout perdu en même pas deux mois ! ». Emeline conclut : « Je mène mon petit bout de chemin sur la perte de poids, et je me satisfais des petites victoires. »
Charlotte pense tester en institut le modeling Bloomea pour atténuer ses vergetures. Cette méthode repose sur trois phases : la macro-exfoliation (lissage de la peau), le modelage par micro-vibrations (stimulation de la production de collagène) et la luminothérapie pour renforcer l’action globale du soin.
Mais il ne faut pas s’attendre à des miracles, aucune technique n’est efficace à 100% contre les vergetures ! Les crèmes à base de vitamine A à appliquer pendant quatre mois et des séances de laser vasculaire réduisent aussi l’aspect de nos petites cicatrices blanches. Véritable intervention médicale, le laser endoveineux traite avec succès les varices superficielles après une anesthésie locale.
Très à la mode il y a quelques années, le palper rouler est une méthode de massage qui permet de libérer les capsules de graisse en les pinçant aux endroits localisés (poignées d’amour, cuisses, etc.). Il peut se faire manuellement ou à l’aide d’une machine, mais c’est généralement douloureux.
Gwenaëlle n’est pas certaine du résultat : « J’avais essayé après ma première grossesse, mais ça n’avait rien changé ! » Plus doux, l’appareil Cellu M6 lutte de la même façon contre la cellulite. Mais selon Stéphanie, qui a testé différentes méthodes, la cryolipolyse ou lipocryolyse serait plus efficace pour éliminer les cellules graisseuses. « Après quatre grossesses, j’ai testé dans un centre médical cette nouvelle technique qui consiste à appliquer un froid intense sur la zone à traiter pendant trois quart d’heure. Quinze jours après, le résultat était probant ! Après deux séances et un régime alimentaire adapté (exit les burgers !), j’ai complètement rempli mes objectifs ! »
Longtemps taboue, la chirurgie tente désormais certaines. Gwenaëlle confie : « J’aimerais me faire retendre la peau, mais je veux être sûre de ne pas avoir d’autres enfants. Le côté superficiel de la chirurgie esthétique me bloque aussi. Je ne suis pas certaine d’assumer » Honey ajoute : « J’y pense pour ma poitrine ». Dans le cas d’un diastasis entraînant un relâchement du ventre, une intervention chirurgicale s’avère nécessaire. Une partie des frais est souvent prise en charge par la sécurité sociale.
Plus douloureux que tous les complexes physiques, auxquels on peut remédier, le moral peut vaciller… « J’ai globalement un sentiment de « mal être » et pas vraiment le temps d’y remédier ! » constate Anne-Gaëlle. Rejointe par Marie-Sara : « Mon moral en a pris un coup ! » Dès que vous pouvez prendre du temps pour vous, il est important de choisir une activité sportive pour retrouver joie de vivre et dynamisme !
« Il y a des filles qui retrouvent leur ligne plus naturellement et d’autres pour qui c’est un peu plus galère » se moquait gentiment Florence Foresti. La majorité se situant plutôt dans la deuxième catégorie, Lise rassure : « Il faut s’armer de patience, laisser le temps au corps de se remettre et se sentir prête à reprendre une activité physique. Quand cela a été le cas, j’ai décollé. Et honnêtement, les premiers mois j’étais plus préoccupée par mon bébé que mes quelques kilos en trop. »
Reprendre le sport permet de galber, gainer, muscler, se réapproprier ce corps qui a subi un choc avec la maternité. « Chaque activité physique m’apporte un vrai bien-être qui me réconcilie avec mon corps », confie Amandine. « Le tout, c’est de refaire une activité régulière qui nous fait du bien. Je fais 4 à 5 heures de sport par semaine. Footing et salle pour les appareils de musculations », ajoute Gwenaëlle. Voici quelques exemples à choisir selon votre personnalité :
Ces sports permettent de reprendre confiance en soi. Pour Marie-Pierre, « le yoga est un moment de détente où tout mon corps se dénoue. Il y a aussi le côté gainage…
C’est efficace au niveau des abdominaux, ainsi que de la souplesse retrouvée ! » Joséphine complète : « J’ai pratiqué deux ans de Pilates qui ont considérablement amélioré mes maux de dos liés à mes grossesses rapprochées. J’ai appris à adopter une bonne posture et à plus écouter mon corps ! »
Lucie confie : « J’aimerais reprendre l’aquabike pour tonifier mes cuisses. J’en ai fait l’an dernier et les résultats sont magnifiques. » Pour Tiphaine, c’est plutôt l’aquagym une à deux fois par semaine : « j’adore et je me sens super bien dans mon corps en sortant ! Ça sculpte et ça gaine en musique. On se sent bien ! ».
Anne-Claire a testé une version revisitée du protocole japonais Tabata qui promettait initialement de brûler les graisses en 4 minutes seulement. Cet entraînement pour sportifs de haut-niveau a été légèrement modifié pour devenir accessible à tous. « Les premières semaines, je ne faisais que deux ou trois séances de 30 minutes de ce mélange de cardio et de muscu. En vacances, je passe à une séance tous les jours et j’ajoute une heure de promenade en poussette. »
Quant à Stéphanie, qui aime tout essayer, elle est sortie convaincue par le Full Body EMS, une électrostimulation proposée par un club de sport parisien, My big bang. « Quatre heures de musculation en 20 minutes » est le slogan qui l’a fait entrer. Elle n’a pas été déçue !
« Le fait de reprendre le sport et de rester vigilante sur mon alimentation m’aide à me sentir mieux, car je sais que les résultats viendront. Et j’ai arrêté de me peser car cela nuisait à mon moral plus qu’autre chose ! » se motive Anne-Claire. Alors, déculpabilisons-nous !
Laissons le temps faire son oeuvre. La corps a mis neuf mois à se transformer, il lui en faut tout autant pour retrouver sa forme initiale. En attendant, mettons en avant nos atouts séduction ! De jolis yeux, une belle poitrine, des jambes fines…
Différentes ruses de sioux s’offrent à nous pour détourner l’attention de nos sources de complexes et mettre l’accent où l’on veut… « Mes yeux, eux, n’ont pas grossi et pétillent quand je regarde mon fils », annonce Alexandra dans un sourire. Charlène, elle, confie mettre en avant ses cheveux et son visage : « J’attire le regard vers le haut ! » Lucie ajoute : « Pas question de me laisser aller ! Je veux que mes fils soient fiers de moi et qu’ils me trouvent belle. Je prends donc soin de moi et suis toujours coiffée, maquillée, accessoirisée ».
Honey opine en affirmant « garder ainsi un peu de féminité ». « Comme j’allaite encore, je fais attention à être le plus nickel possible en compensation : vernis sur les pieds, maquillage, bijoux », précise Anne-Gaëlle. « Mes jambes ont échappé au « massacre » ! ajoute Louise. Du coup, c’est jean skinny, talons quand je ne cours pas après les enfants et jupe courte ».
« Ma garde robe se métamorphose doucement, avoue Charlène. J’opte pour des vêtements plus longs (cachant ma peau d’orange) et moins moulants ! » Anne-Lucie acquiesce :« Je me suis rachetée des pantalons d’une taille un peu plus grande pour pouvoir me sentir bien et jolie, même si je n’ai pas encore perdu tous mes kilos de grossesse. »
Flavie regrette : « Je me disais que j’allais vite maigrir, mais ces kilos se sont accrochés. Plus le temps passe, plus je n’en peux plus de me voir comme ça. Comme je n’ai pas de vêtements adaptés, je ne me sens pas sexy, pas attirante, pas à l’aise dans mon corps. » Quant à Lucie, elle ne choisit plus que des robes « qui ne marquent pas les hanches ». Quelles sont vos parades vestimentaires préférées ?
« Blouses ou chemises fluides, que j’avais déjà avant avec plein de motifs, font illusion côté ventre en plus d’être jolies et agréables à porter », atteste Laetitia. Constance mise aussi sur « des matières et des formes amples ».
« C’est mon meilleur ami, assure Agathe. Il me permet de porter des hauts courts sans que l’on voit mes vergetures ! ». Gwenaëlle précise que la taille haute « emprisonne la peau qui tombe du ventre. »
Amandine révèle : « J’ai commencé à porter essentiellement des jupes et robes lors de ma dernière grossesse, d’abord par confort, puis parce que j’aimais être plus féminine. Après l’accouchement, j’ai gardé cette habitude jusqu’à ne plus porter de pantalon du tout.
Et je me sens beaucoup mieux depuis. D’abord parce que même avec une petite poitrine, je reste très féminine. Ensuite parce que mes hanches, que je trouve toujours trop larges, sont cachées ! »
« J’ai dévalisé les boutiques de lingerie pour avoir des soutiens-gorge parfaitement adaptés à ce nouveau corps et cela change tout ! », assure Marie-Sara. « Moi, j’use et j’abuse des soutiens-gorge push-up, des bodys gainants quand je sors. J’ai même investi cet été dans un beau maillot une pièce qui gaine et qui fait push-up… La sexy mama, ce sera moi ! » s’amuse Louise.
Le chouchou de l’été. Toutes vantent ses mérites ! Pour Amandine, « il cache un peu les défauts et aide à prendre confiance ». Anne-Claire protège ainsi ses cicatrices du soleil : « Heureusement, comme c’est la mode, il y en a de très jolis et féminins ! » Agathe en profite : « Je me suis achetée des maillots de bain une pièce un peu travaillés dans lesquels mes atouts ressortent : poitrine, corps plutôt ferme. »
Une fois reboostée dans son égo, on attaque la phase d’acceptation de soi. Et pour ça, Caroline a sa solution : « J’évite les comptes Instagram de mamans avec des corps de bombe trois mois après leur accouchement, car là c’est plus difficile à accepter ! »
Une philosophie s’installe progressivement. Marie témoigne : « Notre vie a changé, notre regard sur la vie a changé et notre corps en est le témoin. Les changements liés aux grossesses peuvent alors, un peu paradoxalement, être le signe de la plus grande féminité ! » Marie Lise complète : « Ce qui est marrant c’est que j’assume plus mes défauts depuis que je suis maman. Comme si j’avais pris confiance en moi.
Je ne suis pas parfaite, mais je suis fière d’être maman. Même si cela laisse quelques traces, cela fait partie de mon histoire. Et je l’assume sans problème. J’ai compris que la beauté n’est pas d’être faite comme un mannequin, mais d’être bien dans sa tête et dans son corps, avec les qualités et les défauts qu’on peut lui trouver. » Lucie résume : « Je ne me trouve jamais assez jolie, jamais assez mince…
Je pense avoir réussi à accepter mon corps après mon premier enfant. En fait, j’ai surtout arrêté de me regarder le nombril… Pas le temps ! »
« Rien de tel qu’un mot gentil de son petit mari pour reprendre tout de suite confiance en soi ! » assure Marie-Sara. « Avoir un mari qui vous redit qu’il vous trouve belle et désirable » semble aussi être la clef du bonheur pour Louise.
Amandine renchérit : « Le regard aimant de mon mari et ses paroles valorisantes m’ont aidée à accepter ce corps, malgré tous les changements survenus après mes grossesses. Je pense être aujourd’hui plus à l’aise avec mon physique qu’avant, alors que mon corps de jeune fille était plus harmonieux ! »
« Quand je regarde la petite merveille, qui m’a déformé le ventre, je me dis que ça en valait la peine ! » s’exclame Marine. « C’est ce ventre qui lui a permis de grandir et de devenir ce qu’elle est aujourd’hui ! » complète Gaëtane. « Je n’aime pas mon corps de jeune Maman, avoue Charlotte, mais je reste admirative de ce qu’il a pu endurer pour donner la vie.
Les transformations de mon corps, les vergetures sur mon ventre, les kilos accrochés à mes hanches sont autant de marques qui me rappellent que j’ai donné naissance à ma petite fille et que j’ai été capable d’aller au-delà de moi-même, que j’ai accepté de « me sacrifier » pour qu’elle vienne au monde. Et chacun de ses sourires me dit que j’ai eu raison de le faire.
J’ai 30 ans, je suis une jeune Maman, ma fille est mon bonheur. Voilà ! » Constance résume : « J’aime ma vie. J’ai un corps de maman, mais j’ai aussi toutes les joies d’une maman ! » Et Marie de conclure :« Aux yeux de nos enfants, nous serons toujours « la plus belle » ! »
« Quand on sait les joies que nous apportent nos enfants, pourquoi se focaliser sur des préoccupations aussi futiles qu’une peau abîmée ou des hanches élargies ? » s’indigne Elisabeth. « Il faut aussi lâcher prise sur la pression sociale qui nous entoure, à vouloir être parfaite en tout point tout le temps, ajoute Lise.
Chaque chose en son temps comme on dit ! » « Quant aux coups de blues devant les bombes à la plage, s’amuse Honey, rien à faire je reste super jalouse ! »
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Laetitia d’Hérouville