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Aimer la planète c’est aimer ses habitants

 
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Tu vis où toi ? Voilà une question qui peut contenir de multiples réponses ! Et notre réponse dépendra toujours de la personne qui pose la question. Elle est forcément déterminée par le type d’information que l’auteur cherche à donner à son interlocuteur.

« J’habite dans un appart, une maison, un lotissement ! J’habite dans telle ville ou tel village ! J’habite dans ce département, cette région. J’habite en France ou au Luxembourg. J’habite en Europe ou en Australie. J’habite sur la Terre !

Au final, je vis sur la planète Terre.

Big point commun

S’il y a bien une chose commune à chaque être humain, c’est qu’ils sont résidents sur la planète Terre. En effet, on peut se détester, se jalouser, se quereller, avoir peur de celui qui est trop différent de nous (ouais on va pas se mentir et faire genre la fraternité est déjà déployée partout parmi l’humanité !) il n’en reste pas moins que cette réalité factuelle et absolue : nous vivons tous sur la même planète. Ce socle commun pourrait être quelque chose qui nous rapprocherait tellement les uns des autres qu’on ne saurait plus vraiment à quel sujet les humains se divisaient. Je vois partout des efforts déployés pour protéger, aimer et prendre soin de la planète. Est-ce que cela ne commencerait pas par protéger, aimer et prendre soin de ses habitants ?

Fée du logis

Est-ce que toi tu te casserais la tête à prendre vraiment soin d’une maison, entretenir avec amour le jardin, bichonner chaque recoin, si tu n’en n’avais rien à faire de ses habitants ? Est ce que ce n’est pas ceux qui vivent dans un lieu qui nous motivent à le chérir ?

Ah, peut être pas ! Si je réfléchis bien, il existe plein d’entreprises de nettoyage qui font un travail admirable pour prendre soin des lieux sans même savoir qui y vit parfois.

Autrement dit, il existe deux motivations pour chouchouter un endroit. Ou bien on apprécie ceux qui y vivent, ou bien on cherche à obtenir un salaire. Et parmi ces deux motivations, laquelle est la plus susceptible d’être constante dans la durée et de rendre le plus profondément heureux ?

Revenons à notre planète. Nous savons qu’il nous faut en prendre soin. Si elle ne fonctionne plus correctement, c’est l’humanité entière qui est menacée. Pour certaines personnes il est très difficile de se projeter dans l’avenir. Ce n’est pas donné à tout le monde cette capacité d’être visionnaire et d’anticiper les choses (tout comme elle n’est pas donnée à tout le monde la faculté d’apprécier vraiment le moment présent). Heureusement ceux qui se penchent sur le sujet ont aujourd’hui une grande place dans les médias pour exposer les dangers à venir si l’Homme ne prend pas garde à l’avenir de la planète.

Il nous faut un plan

Comment on s’y prend du coup? Au même titre que deux éléments nous motivent à avoir une maison nickel, nous avons donc deux options. La plus pragmatique: le salaire qui motive l’action. Globalement, je choisis de faire une maison en « mode Monsieur Propre » parce que c’est mon travail et mon salaire m’attend après. Génial, faisons ça pour le planète ! Motivons les gens avec l’argent ! C’est d’ailleurs déjà le cas puisqu’on peut avoir une amende si on ne fait pas le tri des déchets ou si on sali la voie publique. Cependant, regardons de plus près la seconde motivation: l’amour. Je chouchoute ma maison car j’aime ceux qui l’habitent. Si on projette ça sur la Terre, et on imagine très vite des humains de partout qui chouchoutent la planète parce qu’ils aiment ceux qui y vivent.

Bingo !

Voilà c’est ma conviction. Je crois profondément qu’aimer la planète c’est d’abord aimer les gens. En effet, si j’aime mes voisins je n’ai pas envie que la rue soit dégoûtante. Si j’aime les gens de ma ville, j’ai envie que les déchets y soient correctement triés et recyclés. Si j’aime les humains, j’ai envie qu’ils vivent dans un espace ou chacun peut respirer librement sans abimer ses poumons. Si j’aime les personnes, j’ai envie qu’elles puissent manger des aliments sans trop de produits chimiques qui leur fait du mal. Si j’aime les gens, je veux prendre soin de la nature dans laquelle ils évoluent. Si j’aime la future génération, j’ai envie qu’elle puisse profiter pleinement de la Terre. Ne pas « profiter » au sens tirer avantage et « l’abuser » mais profiter au sens « apprécier profondément ses bienfaits ».

Au fond, si aimer la planète commence avec le fait d’aimer les gens, alors peut-être qu’on entre (enfin !) dans un développement VRAIMENT durable.

Priscille – encourageuse sur le compte Instagram dépassée mais heureuse.

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